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  • Travaux photo du mois d’Avril

    Le mois d’Avril en photo

    Photographies prises de Canet-en-Roussillon

    Voici les travaux photo qui ont occupé ce mois d’Avril ! J’ai décidé de me remettre sérieusement à l’édition (en retard) de ma production photographique. À commencer par les prises les plus récentes, datées d’Avril. Cela donne ainsi des résultats qui peuvent sembler paradoxaux, avec un travail plus fini et intense sur des prises d’objets et d’endroits de tous les jours : la ville de Canet-en-Roussillon (66140), son front de mer, sa plage sud (aka Canet Sud), le mar estang, les tracteurs de réfection du parking de la plage… Les tags du chemin souterrain qui relie la piste cyclable à l’étang de Canet…

    Photographie du front de mer entre le centre ville et le port de Canet-en-Roussillon (66140), vue d'hiver un jour d'orage par Barbara Ferreres
    Photographie – le front de mer entre le centre ville et le port de Canet-en-Roussillon (66140), vue d’hiver un jour d’orage. Barbara Ferreres, 2024
    Les immeubles et palmiers du front de mer entre le centre ville et le port de Canet-en-Roussillon (66140), vue d'hiver un jour d'orage par Barbara Ferreres.
    Les immeubles et palmiers du front de mer, Canet-en-Roussillon (66140), Barbara Ferreres
    photographie palmiers sur le front de mer de Canet-en-Roussillon (66140), entre Canet centre et Canet Port, au coucher de soleil, mars 2025, Barbara Ferreres
    Photo du coucher de soleil sur les palmiers du front de mer de Canet en Roussillon, Barbara Ferreres
    Photographie d'un rétroviseur de tracteur sur fond de ciel bleu, prise sur le parking de la plage de Canet-sud, Canet-en-Roussillon (66140), Pyrénées-Orientales, France, par Barbara Ferreres, avril 2025
    Photographie prise à Canet-en-Roussillon, (66140), avril 2025, Barbara Ferreres

    Au final, le tracteur présent sur le parking du Mar Estang à « Canet Sud » (nom familier de ce secteur de Canet-enRoussillon) pour les travaux a eu droit à un véritable shooting photo personnalisé, avec un travail de suppression des personnes et véhicules en fond. 

    Bien qu’il y ait déjà toutes ces photos, je n’ai pas réussi à me décider tout de suite sur la couleur du ciel . Je savais juste que je voulais un rendu analogique de type photographie argentique. Le rendu de cette galerie a été obtenu avec des presets lightroom rendant un argentique de 35mm ou les pellicules de la marque kodak. J’ai eu du mal à me décider sur le rendu du ciel, bien que j’étais sûre de vouloir avoir le rendu d’un appareil photo jetable.

    Photographie d'un rétroviseur de tracteur sur fond de ciel bleu, prise sur le parking de la plage de Canet-sud, Canet-en-Roussillon (66140), Pyrénées-Orientales, France, par Barbara Ferreres, avril 2025
    Photographie prise à Canet-en-Roussillon, (66140), avril 2025, Barbara Ferreres
    Sous-terrain de la piste cyclable à Canet-Sud, reliant Canet-en-Roussillon (66140) et l'étang de Canet-Saint Nazaire, près du mar estang.
    Vue sur le souterrain de la piste cyclable reliant la plage de Canet sud à l’étang de Canet-en-Roussillon (66140)

    En parallèle, le travail sur les prises photographiques de ma visite de Strasbourg (67000), les photos de rue mettant en valeur ses endroits insolites, ou son célèbre marché de Noël, n’a avancé que d’un iota. Parmi elles, j’ai choisi de m’attarder d’avantage sur un paysage familier pris de la fenêtre de la chambre d’une colocation à Mittelhausbergen (67607) où j’habitais encore. C’est pourquoi cela n’étonnera personne d’apprendre que la même méthode de travail retardé et sporadique a été adopté pour l’édition de mes photographies prises lors d’un dernier voyage à Lyon en Octobre 2024, où j’étais allée voir un deuxième concert de la tournée d’adieu du groupe Shaka Ponk.

    Photographies prises à Lyon

    Octobre 2024

    Barbara Ferreres, selfie au miroir, Lyon, Octobre 2024
    Barbara Ferreres, selfie au miroir, Lyon, Octobre 2024

    J’ai commencé à m’attaquer aux jeux photographiques pris dans une salle d’eau pleine de miroirs, la narcisse en moi aimant particulièrement jouer avec les perspectives offertes par juste mon visage et un des miroirs.

    Buste statue grecque modernisé de manière esthétique, lumière rose, lunettes de soleil rose
    Buste grecque sexy
    Lumières restaurant esthétique rose éclairé
    lumières aesthetic, restaurant-café rue mercière au centre ville historique de Lyon, Barbara Ferreres

    Le même restaurant aurait mérité un photoshoot à lui tout seul (peut-être plus que le tracteur), mais bon, sans autorisation, ça ne se fait pas vraiment… En tous cas, je n’ai pas regretté d’aller prendre un café aux environs de Bellecour (Lyon) et les rues adjaçantes, que j’ai aussi commencé à retravailler.

    immeubles de la rue Mercière, avec commerces, à Lyon (69000), près de la place Bellecour, centre ville historique de Lyon, par ciel bleu une après-midi d'octobre 2024. Photographie prise par Barbara Ferreres.
    La rue Mercière, centre ville historique de Lyon, octobre 2024, photographie par Barbara Ferreres

    En même temps, j’ai presque fini d’éditer les photos du métro d’octobre 2024. C’est chouette, il n’y aura plus qu’à se mettre à celles de Février 2024 après ça ! J’ai presque fini cette partie du travail, à laquelle je vais pouvoir dédier un article très prochainement, en grande amatrice de trains et de métros. J’ai hâte de reprendre un mode de vie plus mobile, car la sédentarité ne me sied guerre. Les photos suivantes ont été prises principalement à la gare SNCF de Lyon Perrache (merci à celui qui m’a dit que mes photos lui faisaient oublier la fréquentation et douce odeur d’urine qui assaisonnent parfois l’endroit et le rendaient badass, c’est un compliment dont je mesure l’ampleur).

    Certaines photographies de février 2024 se sont glissées avec les autres, mais elles se mêlent bien avec les autres ! J’ai aussi pris à Lyon certaines de mes photo de rue préférées, mes premières vraies de photographe !

    Scène de rue à Lyon, photographiée depuis le tramway, tons bleus, fujifilm xs10, photo prise par Barbara Ferreres, octobre 2024
    Scène de rue à Lyon, Barbara Ferreres, octobre 2024

    Et les photos depuis la voiture pour le départ, sur le périphérique de Lyon et puis l’autoroute A69 – des usines, cheminées et graffitis, travaillés en tons bleus et sépias également, comme des scènes de films.

    Usines du périphérique de Lyon, photographie par Barbara Ferreres, octobre 2024
    Usines du périphérique de Lyon, par Barbara Ferreres, octobre 2024
    Streetart (graffiti) sur les usines et bassins de stockages périphérique de Lyon, photographie par Barbara Ferreres, octobre 2024
    Streetart (graffiti) sur les usines du périph de Lyon, Barbara Ferreres

    Remarquez, autant rattraper le retard pris dans mes travaux photo en commençant par celles les plus récentes, qui datent effectivement du mois d’Avril ? Petit à petit, l’oiseau fait son nid, et je pourrais presque compléter les galeries commencées par le journal photo de mes vacances d’hiver 2023 à Sainte-Marie-la-Mer ! Voire même celui de mon séjour à Strasbourg et premier voyage à Lyon.

    C’est tout pour aujourd’hui ! J’ai encore des photos de Strasbourg à vous montrer, mais ça me fera d’autant plus de raisons de mettre à jour le blog plus souvent. On se voit dans pas longtemps avec plus de photos et de textes !

    Barbara Ferreres, autrice et photographe.


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  • 23/06/2024 – De l’ennui

    Si aujourd’hui j’écris, c’est pour poncer une énième fois, sous vos yeux ébahis, la pierre déjà trop polie qu’est celle de l’ennui. Nous avons tous toujours quelque chose de mieux à faire, pour finir englués dans cette sorte de paradoxale immobilité que je vous vois imaginer pendant que je parle. Invraisemblable, mais les voies du Seigneur son impénétrables (cf les milliers d’années de débats qui sont loin d’être terminés).

    Cocteau a dit : il vaut mieux mieux une journée à ne pas produire un écrit de qualité plutôt que de rester à penser, pourvu qu’on écrire (La condition humaine). Alors me voici, époussetant mon torchon (lequel ? dirait ma professeure de concours ministériels) pour polir une deuxième catégorie de poncifs.

    L’ennui et l’envie, quel cliché !

    Dans l’ennui se retrouve fondamentalement un manque d’envie. L’envie me manque couramment – sauf celle d’aller me soulager. Je disais dans un précédent journal que l’écrit était vomi (08/04/2024 – Vomir dans le Thalys), dans le slam Strasbourg tu m’as saoulé que je prenais le merdier d’un endroit donné. Un psychothérapeute fatigué y verrait un lien qui dépasse le royaume des idées. Voici ce que j’en pense : « Comment creuser l’essence de l’existence quand on est par le spleen cloué au lit ? »

    Baudelaire prend souvent de grands airs – regardez un portrait et vous comprendrez que comme moi il n’avait pas d’autres choix. Il répond pourtant très justement à cette question : qui est sujet au spleen, à l’addiction, ou est ivre de quoi que ce soit d’autre, n’est pas en capacité d’écrire. C’est un temps qui vient après. Ah ! Encore un cliché. Il faut bien qu’on vienne s’assurer qu’ils soient dépoussiérés. Faute de balayer devant ma porte physiquement, je peux au moins le faire métaphoriquement.

    En attendant des jours plus captivants je finirais sur une histoire vraie – encore, cette fois-ci non pas dans le secondaire, mais au niveau universitaire.

    Un parcours universitaire : d’une licence arts plastiques à une licence lettres modernes

    L’art de retomber après un raté (de la réorientation)

    J’ai commencer la création avec le dessin, les arts, que je suis entrée à l’université pour étudié en licence arts plastiques. Finalement, ce ne sont pas que les résultats qui m’ont poussée à me réorienter, mais un sentiment d’inadéquation permanent. J’ai changé pour la licence Lettres modernes sans trop y regarder, ce qui n’aurait rien changé vu mon parcours après mon master études culturelles.

    Je trainais mon fantôme d’artiste raté comme un boulet. Après ma licence d’arts, je n’ai plus jamais dessiné quoi que ce soit qui soit digne d’intérêt. Tué, fusillé, j’errais comme une âme en peine avant de découvrir que je pouvais écrire.

    D’ailleurs, ça m’a beaucoup appris de me gourer : je remercie sans aucune ironie papa et belle-maman de m’avoir laissé foncer.

    « Les humanités, c’est pour les ratés »

    Comme si arts plastiques c’était déjà pas assez, en me voyant choisir une autre « filière chômage » (quelle blague, j’ai eu tellement de chômage que j’en ai fait un burn-out, regardez comme je suis incroyable ! ». Ah mais les humanités c’est bouchés, c’est pour les ratés. Comme si ça l’était pas à court terme pour ma soeur et ses confrères, qui ont refusé des contrats prometteurs… Mais eux ils font nucléaire, pas littéraire !, au moins ça donne ce que ma grand-mère appelait « une situation ».

    Retour à l’ennui (le tour des clichés)

    C’est pas grave, je suis un chat de gouttière, j’ai déjà une situation. Les réflexions je me les carre dans le fion, c’est bon pour le transit et ça me permet d’écouter, lire, pour mieux voir ce que l’on ne veut/peux dire pour mieux l’écrire.

    Lire aussi :
    Luba Jurgenson, Sortir de chez soi – Une lettre d’amour aux écrivains passeurs des textes
    09/06/2024 – Si je fleuris, traduis, écris, c’est grâce à mon sale caractère…
    29/07/2023 – Tribulations nocturnes à deux heures du matin

    L’ennui, part fondamentale du processus créatif

    Ce qui nous amène au fond de mon propos : l’ennui est primordial. Il est premier dans la création, l’écriture. Il permet d’ajouter de nouvelles cordes à son arc. Parfois il faut prendre de s’ennuyer pendant un projet, et débiaboliser le phénomène de la page blanche. Dans ces cas là, faites comme Virginia Woolf : marchez, lisez (Virginia WOOLF, Journal d’un écrivain, 10-18). Elle aussi intégrait de grandes périodes d’ennui dans son processus créatif, et c’est désormais une des plus grandes autrices en langue anglaise.

    Surtout, dans une société capitaliste qui nous demande d’être toujours plus productifs, d’effectuer un acte de rébellion qui parait inoffensif, mais reste pourtant fondamentalement nécessaire. Le contraire revient à vendre son art au capital.

    Si vous préférez, c’est ce qui vous faire dire quand vous écoutez un chanteur connu depuis un temps « c’était mieux avant« . Alors, bon sang, laissez leur le temps d’être fainéants !

    En tous cas, attendez moi ou pas, je continuerai à poncer.

    Barbara Ferreres, 2024, Tous droits réservés.

    Photo : Barbara Ferreres, 2024, tous droits réservés. Station de métro Bellecour à Lyon (panneau lumineux). Appareil photo numérique fujifilm XS-10 objectif fujinon 15-45mm, édité avec l’aide d’adobe lightroom, vaporgram et glitch cam (oui faut que je prenne des cours).


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  • The train traveler (la voyageuse du train) – photodiary #1

    Photographies de mes voyages en transports en commun, notamment le train, bus et tramways (ter occitanie, tgv inoui sncf, cts Strasbourg, Brussels, Leiden station, arriva nederland), avion (KLM) – derniers travaux d’édition en vue d’une publication des photos en séries plus cohérentes orientées sur les transports, le train, le tram… En fonction des villes, atmosphères, et pays visités.

    Barbara Ferreres – Copyright 2019-2021


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    À la lumière des lamparos

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    À la lumière des lamparos

    Cette histoire d’un soir, 
    Est la matrice d’innombrables heures débauchées 
    D’un groupe de jeunes paumés 
    A deux pas de la mer méditerranée 
    La vie va les séparer,
    Gardez pour l’instant le secret;
    Leur innoncence intouchée est protégé,par les pécheurs aux lamparos 
    Dont lueur d’espoir trompeuse piège qui ne supporte par le noir.

    Chut..!
    C’est le moment où le silence immobile de la nuit 
    Pousse les maraudeurs saoulés par la chaleur de l’ivresse 
    À rechercher sa fraicheur 
    Du village à sa plage,
    Ils se font poissons migrateurs 
    Dont le bruit raisonne d’autant plus fort qu’il est interdit, 
    Comme un scintillement d’écailles qui les trahit. 

    Ils imitent sans le savoir, 
    La danse macabre des insectes et sardines happés par l’éclairage artificiel 
    Tournant autour d’un répertoire d’histoires perpétuel
    Dont la lumière du jour éclatera le superficiel. 

    Aux rues éclairées se succède des chemins noyés dans l’obscurité
    Des jets d’urines derrière les maisons voisines, couverts par leurs rires
    Les champs de Sainte-Marie se succèdent
    Jusqu’à ce que se fasse sentir l’odeur de salé typique de ces rivages familiers et pourtant incessamment recherchés
     Inconscient des ravages du temps, il se fait toujours plaisant,
    Où rien n’existe après vingt ans. 

    Les flashs des portables sont d’autant d’éclairs, 
    Absorbés par la mer, 
    Qu’il était alors important, de pouvoir toucher des pieds le plus longtemps 
    De pouvoir toucher par tous les temps

    Je pense le vague à l’âme, 
    Aux lamparos qu’on observait pêcher 
    Sur la côté catalane
    Aveuglés par l’alcool, la lune, les étoiles, et leurs lumières rondes
    On refaisait un monde 
    Où l’on pensait se voir toujours, 
    De nos affaires alors ensablées, 
    Tout s’est évaporé. 

    La tiédeur du sable me rendait mélancolique 
    Je les voyait courir au loin, n’entendant déjà plus leurs discussions
    Peut-être percevais je déjà tous les indices
    D’une séparation plus profonde que les filets 
    Qui permettaient au passé de ressurgir en sécurité;
    Tout comme les plantes et les trous que l’ont ne pouvait pas voir, 
    La lumière du soir les a fait plonger dans le noir,
    De ces sentiers empruntés en secret 
    Cachette de ces chats qui eux nous voyaient venir 
    Et qu’on faisait fuir. 

    Seules nous ramenaient à la réalité, les rares fenêtres allumées
    Et la fraicheur tempérée de la méditerranée
    Dont les marrées ne sauraient effacer, 
    Les traces laissées par les garçons qui se coursaient,
    Pendant que les plus sobres nous guidaient,
    Véritables moniteurs de centre aéré  
    Je repense à la fierté mal placée, de laisser certains grelotter
    Au nom de la perpétuation de la tradition
    De ces explorations menées en secret 
    Du jour, bien gardées. 

    Les flashs de nos téléphones sont autant d’éclairs, absorbés par la mer
    Dont l’impuissance face aux roseaux, à l’eau, au vent, 
    Se fait encre indélébile sur des vêtements
    Abandonnés depuis longtemps. 

    Oui, ces lampes aux jets balbutiants 
    Noyés dans la lumière lunaire, 
    Entouraient le noir 
    De mes espoirs réfractaires
    Adepte de son aveuglement, je me noies encore dans le nectar,
    Des nuits où l’on se couche trop tard, 
    Elle est le gardien d’un présent toujours vivant, 
    Aidant à guérir les fractures du ceux qui pour qui le présent se décline à contre-temps
    Et conjuguent sans faute le passé au futur.

    Le drapé du soir, troué d’autant d’étoiles, que de traces laissées par nos balles; 
    Laisse encore s’échapper nos rires étouffés,
    Il est autant la voile des souvenirs d’un jour, 
    Que la toile dressée en hommage,
    Aux déambulations de jeunesse qui n’a pas d’âge. 

    J’ai beau être moi revenue,
    Mais les lamparos, eux, ne sont jamais réapparus.

    Barbara Ferreres – à la lumière des lamparos 
    2024 tous droits réservés, 66470 Sainte Marie la Mer


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    Marco de San Francisco

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    Marco de San Francisco

    C’était sur une route nationale de Bretagne 
    Sur ce chemin désert, sa mini grise comme la campagne 
    La conduisait vers une longue histoire.

     

    Elle était jeune, brune, jolie, grisée, 
    Il était quatre heures du matin 
    La lumière de ses deux phares, noyée dans l’illumination d’une intersection
    Éclaire trois lascards, un groupe de tocards 
    Pas avare, elle se laissa faire par leurs pouces en l’air. 

    (suite…)


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