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  • L’Hôtel de Daisy Johnson – Des histoires de fantômes qui ne vont pas me hanter (review)

                      L’Hotel* de Daisy Johnson est un recueil de quatorze nouvelles unies par un même thème, dont le titre nous donne déjà tout : un hôtel, sans nom, hanté, ce qui ne sera pas sans rappeler aux amateurs de séries télé la saison d’American Horror Story du même nom, et au fonctionnement assez similaire. L’héritage des classiques de l’horreur (psychologique) et des romans gothiques où le réel et le surnaturel se mélangent pour nous ramener, finalement, à nos propres démons, est assumé dès la couverture – il s’agit de l’argument de vente principal de ces quatorze nouvelles par l’éditeur. C’est d’ailleurs ce qui m’a poussé à emprunter cet ouvrage, que j’ai lu immédiatement en rentrant de la bibliothèque, sans faire de recherches préalables.

     

                      L’Hotel est le quatrième livre de Daisy Johnson, que je ne connaissais pas du tout avant de lire ce recueil, bien qu’elle soit une figure montante de la scène littéraire britannique. Son premier roman, Everything Under, publié en 2018, a été nominé pour the Booker Prize – haut fait pour une autrice assumant son appartenance au fantastique, voire à l’horreur pour ce prix qui lui préfère habituellement le réalisme social, voire une double prouesse puisqu’elle l’impose comme l’auteur la plus jeune à jamais avoir été nominée pour ce prix (à l’heure où j’écris) ! J’avoue avoir été surprise de ne voir aucune mention de cette carrière sur la couverture de L’Hotel, sachant qu’Everything Under est paru chez chez le même éditeur (Stock, La Cosmopolite) sous le titre Tout ce qui nous Submerge.

     

                      Est-ce un choix délibérer pour inciter les lecteurs à partir avec un regard frais sur ce nouveau roman ? Pourtant, Daisy Johnson, avec maintenant quatre romans dans le genre, semble s’imposer sur la scène anglaise du roman gothique contemporain. Peut-être une volonté issue de la nature de l’ouvrage – en effet, il lui a été commandé par la BBC Radio 4 pour être dit oralement, et a été pour elle une première occasion de se frotter au genre de l’horreur plutôt qu’au fantastique pur.

     

                      C’est une information que j’aurais aimé voir figurer sur le recueil (ou du moins son édition française) pour deux raisons. La première est que la bbc est un critère de référence à mon sens quand il s’agit de création ou d’adaptation littéraires, comme celles télévisées de Tipping The Velvet (Caresser le velours) ou Pride and Prejudice (Orgueil et Préjugés). La deuxième, plus légitime, est que cela change totalement les attentes autour de  la réception de l’ouvrage, puisque l’on est totalement privés de son contexte de création… Ainsi cette simple mention explique-t-elle en partie mes plus gros griefs à son propos et m’aurait peut-être poussé à lire au moins une autre œuvre de l’auteur avant de rédiger le présent article, bien que ses autres avis soient mitigés.

     

                      Dans ces nouvelles initialement pensées pour la radio, Johnson nous donne à lire l’histoire de cet hôtel anonyme, depuis celle des marécages où il a été bâti en 1919– terres hantées, lieu de sacrifices et de souffrances, qui dès la première nouvelle, semblent sceller le destin du bâtiment – jusqu’à sa démolition après l’incendie qui le ravagea en 2019 dans la dernière histoire, qui marque son retour à la terre, non sans continuer de faire des victimes. Si le narrateur n’est pas toujours humain, toutes les histoires suivent une narratrice présentée au féminin, que le bâtiment au style néogothique réputé hanté – source de visite curieuses – perdu dans une angleterre battue par les vents, attirent, toujours dans la lignée des classiques du roman gothique écrits par des femmes ou à propos de femmes, pour qui l’hôtel semble toujours familier, même quand il est inconnu.

     

                      Avant de revenir à l’histoire des terres sur lequel l’hotel est bâti, le livre nous l’introduit, avec une sorte de suspens qui relève aussi d’une complicité qui sera fixée avec le lecteur au fur et à mesure du recueil – le sentier est balisé, il sait de quoi il est question grâce aux autres nouvelles, qui fonctionnent parfois ensemble. Ainsi la première nouvelle, intitulée « L’Hotel », dresse un tableau qui, comme le titre du livre, est on ne peut plus clair : «Voici ce que l’on sait de l’hôtel : Il est plus vaste au-dedans qu’au-dehors. N’allez pas dans la chambre 63. Les portes et les fenêtres changent parfois de place. L’hôtel écoute tout ce que vous dites. L’hôtel guette. L’hôtel sait tout de vous. L’hôtel vous connaissait avant votre arrivée. L’hôtel n’est pas le même avec tout le monde. On sera bientôt à l’hôtel.» Toute référence à The Shining et sa chambre 238 ou à la chanson Hôtel California, qui relève aussi du récit entre le fantastique et l’horreur psychologique issue d’une folie propre au(x) protagoniste(s), est évidemment pensée.

     

                      J’avoue être restée mitigée sur cette lecture. J’aime beaucoup le roman gothique anglais, surtout lorsqu’il se pense au féminin, mais je pense que même sans mentionner les prix (ni le format), les éditeurs ont peut-être visé un peu haut sur les attentes éventuelles des lecteur-ices, surtout en évoquant Steven King. A mon sens, toutes les nouvelles de cet ouvrage auraient gagné à être creusées. Si la brièveté sied parfaitement au format radiophonique original – le format audiobook ayant donné lieu à des retours plus positifs, ce qui n’est pas surprenant – qui en fait dans le cadre d’une telle fiction d’horreur une nécessité narrative, elle se retranscrit très mal sur papier. Oui, j’ai été hanté en finissant le recueil, par le sentiment persistant que ce qui était supposé éveiller chez moi cette sensation de malaise et d’entre-deux spécifique à la nouvelle fantastique d’horreur – pensez à Edgar Allan Poe – me laissait dans la bouche un goût persistant de fin bâclée amenée trop rapidement. A chaque fois.

     

                      Certes, le format court et inexpliqué est le propre des histoires courtes, surtout quand on a affaire au surnaturel. C’est ce que j’aime été recherchais, et pas une fois, je n’ai pu le savourer, par le rythme beaucoup trop rapide et mal mené de toutes les histoires.  Ainsi, aucun moment ne laisse au style de l’autrice l’occasion de se déployer, ni de nous faire nous attacher aux personnages ; ni à l’hôtel. J’ai refermé le roman en me demandant ce que ce bâtiment avait de si spécial pour mener à la perte d’autant de personnes, malgré une bonne exploitation des clichés du genre (couloirs qui se font labyrinthes, fantômes, voyages spatio-temporels, naissances) et un bon équilibre avec la part de mondain (mariages, couples).

     

                      S’il est entendu dans la présentation ludique de l’autrice que certaines choses sont acquises au début du recueil – la familiarité de l’hôtel, qu’il soit hanté, et la fascination qu’il cause chez les gens, même chez ceux qui ignorent sa sombre histoire – je n’ai jamais réussi à la sentir vraiment dans les histoires, je n’ai jamais réussi à le voir. A titre d’exemple, je trouve le fait bien plus évident dans la chanson des Eagles mentionnée en introduction, Hôtel California.

     

                      Ainsi, la brièveté des histoires n’est pas sensée empêcher de s’attacher au récit ou aux personnages, mais ça a été le cas chez moi. Au final, je dirais que je me souviens vaguement d’environs sept histoires du roman deux mois après (ce n’est pas si mal, vous me direz), et surtout du sentiment de frustration qu’elles m’ont laissé et qui ne vient apparemment pas uniquement de moi. Un côté positif qui n’est cependant pas supposé en être un : c’est vite fini, et ls histoires se lisent vite malgré l’ennui. Ce qui est assez dommage étant donné comment le roman est vendu et le pédigrée supposé de l’autrice. Surtout que j’ai trouvé que s’attaquer au mythe classique de l’Hôtel hanté était osé et courageux. Une question demeure au final : comment est-ce que le recueil n’a réussi à s’attirer que des critiques aussi élogieuses par la presse ?

     

    *The Hotel pour la version originale, traduit depuis l’anglais pour l’édition Française par Laetitia Devaux, paru en 2025 aux éditions Stock, La Cosmopolite.


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  • Doe maar – pa songteksten, histoire traduction française et histoire

    Doe maar – pa, dutch songteksten et traduction française / signification

    Dutch lyrics/ nederlandse songteksten

    Zoals je daar nu zit je haren bijna wit
    De rimpels op je handen
    Zo vriendelijk en zacht wie had dat ooit gedacht
    Je bent zoveel veranderd
    Ik werd niet wat jij wou maar pappa luister nou
    Ik doe de dingen die ik doe met mun ogen dicht

    Jij was heel wat van plan maar daar kwam weinig van
    Ik lever geen prestaties
    Ik heb niet veel geleerd deed alles net verkeerd
    Heb moeite met relaties
    Ik loop niet in de rij ik breek en vecht me vrij
    En doe de dingen die ik doe met mun ogen dicht

    Knoop je jas dicht doe un das om was eerst je handen
    Kam je haren recht je schouders denk aan je tanden
    Blijf niet hangen recht naar huis toe spreek met twee woorden
    Stel je netjes voor eet zoals ut hoort en zeg u

    Ik sta hier en ik zing ik doe gewoon mun ding
    Dat moet je accepteren
    Ach luister nou toch pa het is nog niet te laat
    Want leven kun je leren
    Ik weet niet waar ik sta loop niemand achterna
    Maar doe de dingen die ik doe met mun ogen dicht

    Knoop je jas dicht doe een das om was eerst je handen
    Kam je haren recht je schouders denk aan je tanden
    Blijf niet hangen recht naar huis toe
    Spreek met twee woorden
    Stel je netjes voor eet zoals ut hoort en zeg u

    Doe Maar – Pa, all rights reserved, album 4us, sorti en single (original vinyl in picture / disque vinyle original sur l’image) 1983

    Voir aussi :
    Doe Maar – Pa (dutch lyrics and english translation with history)
    Doe Maar – Heroine (dutch lyrics and english translation)

    Doe maar – pa, paroles / traduction française

    T’es là, tes cheveux grisonnants,
    Et tes mains ridées,
    Qui aurais pensé que tu t’adoucirais autant ?
    T’as tellement changé,
    J’suis pas devenu celui que tu voulais que j’sois mais papa tu dois savoir maintenant
    Je fais ce que je fais à l’aveuglette

    Tes grands plans sont tombés à l’eau,
    J’fais même pas de concerts,
    Je n’ai pas appris grand chose de mes erreurs,
    Je galère socialement,
    Je roule pas sur l’or, je me bats pour m’en sortir
    Et je fais ce que je fais à l’aveuglette

    Boutonne ta chemise, la main en premier pour nouer ta cravate,
    Garde tes épaules droites, brosse toi les dents,
    Traine pas, rentre directement à la maison, ne réponds pas
    Sois poli, tiens toi bien à table, et tu me dis « vous »

    Moi j’reste là je chante j’fais ma vie
    Il faut que tu l’acceptes
    Mais papa écoute c’est pas trop tard
    Pour apprendre à vivre ta vie comme tu le souhaites toi
    J’sais pas où j’en suis, personne n’emboîte mes pas
    Donc je fais ce que je fais à l’aveuglette

    Boutonne ta chemise, la main en premier pour nouer ta cravate,
    Garde tes épaules droites, brosse toi les dents,
    Traine pas, rentre directement à la maison, ne réponds pas
    Sois poli, tiens toi bien à table, et tu me dis « vous »

    Pa – Doe Maar, all rights reserved, album 4us, sorti en single (original vinyl in picture / disque vinyle original sur l’image) 1983, Traduction française par Barbara Ferreres, 2024, tous droits réservés.

    Histoire et signification de Doe Maar – Pa en français

    Interprétation personnelle appuyée par celle de Radio Call Me Fred (en anglais)

    Doe Maar, histoire d’un groupe de musique néerlandaise emblématique

    Doe Maar est un groupe de musique néerlandaise qui écrit la majorité de ses textes en néerlandais, mise à part la chanson Belle Hélène dont les paroles sont en français. Il s’agit d’un groupe néerlandais emblématique des années 80 aux influences raggae/punk/post punk et ska.

    Doe Maar – Pa signification et histoire

    Pa de Doe Maar est sortie officiellement en 1983. Il s’agit d’une de leurs premières chanson sorties en single au format vinyle et figure sur leur premier album 4us.

    La chanson s’adresse au père du chanteur, un homme très stricte qui vit selon les codes de son temps, pendant que lui aime cueillir la vie et se consacre à son art qui ne lui rapporte pas d’argent. Les vers alternent entre ce que le chanteur veut faire passer comme message à son père – qui est d’apprendre à vivre la vie qui lui plait plutôt que de se conformer aux attentes de la société car il est heureux bien qu’il ne sache pas où il va. « Met mijn ochen dicht » signifie littéralement « avec [mes] les yeux fermés », ce que j’ai voulu retranscrire par à l’aveuglette – et les remontrances que le père du chanteur à pu lui adresser.

    Le chanteur et protagoniste parle sur un ton familier que j’ai essayé de rentranscrire de manière moderne, en essayant de contraster avec les ordres strictes de son père (pa étant un surnom familier) donnés dans un langage plus soutenu.

    Barbara Ferreres, 2024, tous droits réservés.


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  • Doe Maar – Pa (English translation and lyrics/songtekst)

    Doe maar – pa, dutch lyrics and english translation.

    Dutch lyrics/ nederlandse songteksten 

    Zoals je daar nu zit je haren bijna wit
    De rimpels op je handen
    Zo vriendelijk en zacht wie had dat ooit gedacht
    Je bent zoveel veranderd
    Ik werd niet wat jij wou maar pappa luister nou
    Ik doe de dingen die ik doe met mun ogen dicht

    Jij was heel wat van plan maar daar kwam weinig van
    Ik lever geen prestaties
    Ik heb niet veel geleerd deed alles net verkeerd
    Heb moeite met relaties
    Ik loop niet in de rij ik breek en vecht me vrij
    En doe de dingen die ik doe met mun ogen dicht

    Knoop je jas dicht doe un das om was eerst je handen
    Kam je haren recht je schouders denk aan je tanden
    Blijf niet hangen recht naar huis toe spreek met twee woorden
    Stel je netjes voor eet zoals ut hoort en zeg u

    Ik sta hier en ik zing ik doe gewoon mun ding
    Dat moet je accepteren
    Ach luister nou toch pa het is nog niet te laat
    Want leven kun je leren
    Ik weet niet waar ik sta loop niemand achterna
    Maar doe de dingen die ik doe met mun ogen dicht

    Knoop je jas dicht doe een das om was eerst je handen
    Kam je haren recht je schouders denk aan je tanden
    Blijf niet hangen recht naar huis toe
    Spreek met twee woorden
    Stel je netjes voor eet zoals ut hoort en zeg u

    Pa – Doe Maar, all rights reserved, album 4us, 1983

    See also:
    Doe Maar, Heroine, english translation – Doe Maar – Heroine English and Dutch lyrics
    Traduction française / see french translation for Doe Maar, Pa : Doe Maar – Traduction française 

    Pa – Doe Maar, english lyrics / english translation

    You’re sitting here, your hair almost white
    With wrinkles on your hands
    Who would have thought you would be so understanding and nice
    You’ve changed so much
    I’m not who you wanted me to be but you have to listen now
    I do the things I do with my eyes closed

    You had big plans and for what
    I’m not getting any gigs
    I didn’t learn much from my failures
    I struggle with relationships
    I’m not swimming in gold, I fight to get myself free
    And do the things I do with my eyes closed

    Button your shirt straight, put your hand first when tying your tie
    Jeep your shoulders straight, think about your teeth
    Don’t hang around, go straight home, don’t talk back
    Be polite, mind when you eat, and say Father (or mister since it’s formal depends but that can’t be translated in English)

    I stay here I sing I just do my thing
    You have to accept that
    Oh dad you have to listen when I tell you it’s not too late
    To learn to live on your terms
    I don’t know where I stand, there’s no one walking on my path
    Just do the things I do with your eyes closed

    Barbara Ferreres, original english translation,  all rights reserved for the band doe mmar Doe Maar.


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  • Zwei – Last Game traduction française (Steins Gates 0 ending)
    Last GameLa partie finale
    Come to me, embrace my tears
    Let me guide you down into my soul
    And let us pray for the world to realize
    There is peace, the truth within us
    Emptiness erodes your heart’
    Cause you’re free from pain and sorrow
    Future is just too bright to show you ways
    Wake up now, it’s time to lead new souls

    Orbit of photon and universe
    I am just the part of its plan
    目には見えない歪んだ空
    人は何処へと歩いていくの?
    The last game

    Hold my hand, melt my heart Feel like I’ve been caught up in somewhere cold
    Like the moon and stars hidden in the dark
    Finally I found myself in your eyes

    If we were meant to be, my love
    Why do we keep making mistakes?
    Nothing can fulfill us in this world
    Give me hopes to believe in our fate

    Orbit of photon and universe
    I will follow you all the way
    気付きようのない五感の支配
    生きる意味さえ知らされぬまま
    The last game

    Orbit of photon and universe
    I am just the part of its plan
    目には見えない歪んだ空
    人は何処へと歩いていくの? Ah
    Orbit of photon and universe
    I will follow you all the way
    気付きようのない五感の支配
    生きる意味さえ知らされぬまま
    The last game

    Come to me, embrace my tears
    Let me guide you down into my soul
    And let us pray for the world to realize
    There is peace, the truth within us
    Emptiness erodes your heart’
    Cause you’re free from pain and sorrow
    Future is just too bright to show you ways
    Wake up now, it’s time to lead new souls

    Orbit of photon and universe
    I am just the part of its plan
    目には見えない歪んだ空
    人は何処へと歩いていくの?
    The last game

    Hold my hand, melt my heart
    Feel like I’ve been caught up in somewhere cold
    Like the moon and stars hidden in the dark
    Finally I found myself in your eyes
    If we were meant to be, my love
    Why do we keep making mistakes?
    Nothing can fulfill us in this world
    Give me hopes to believe in our fate

    Orbit of photon and universe
    I will follow you all the way
    気付きようのない五感の支配
    生きる意味さえ知らされぬまま
    The last game

    Orbit of photon and universe
    I am just the part of its plan
    目には見えない歪んだ空
    人は何処へと歩いていくの? Ah
    Orbit of photon and universe
    I will follow you all the way

    気付きようのない五感の支配
    生きる意味さえ知らされぬまま
    The last game
    Viens à moi, embrasse mes larmes
    Laisse moi te guider vers les trefonds de mon âme
    Et prions pour que le monde réalise
    Que la paix, la vérité est en nous
    Le vide érode ton coeur
    Parce que tu es sans peine ni regrets
    Le futur est simplement trop aveuglant pour te guider
    Réveille-toi, il est temps de guider de nouvelles âmes

    L’orbite des photons et de l’univers
    Je ne suis qu’une partie de son plan
    Dans ce ciel déformé que l’œil ne peut saisir
    Vers où te diriges tu ?
    La partie finale

    Prends ma main, fonds mon cœur
    J’ai le sentiment de m’être piégée dans un lieu froid
    Comme la lune et les étoiles cachées dans le noir
    Je me suis finalement trouvée dans tes yeux

    Si notre destin était d’être ensemble, mon amour
    Pourquoi faisons nous sans cesse les mêmes erreurs ?
    Rien ne peut nous satisfaire en ce monde
    Donne moi l’espoir de croire en notre destin

    L’orbite du photon et de l’univers
    Je te suivrai jusqu’au bout
    Nos cinq sens étant contrôlés à notre insu
    Sans même connaître le sens de la vie, je te suivrai
    La partie finale

    L’orbite des photons et de l’univers
    Je ne suis qu’une partie de son plan
    Dans ce ciel déformé que l’œil ne peut saisir
    Vers où te diriges tu ? Ah
    L’Orbite des photons et de l’univers
    Je te suivrai jusqu’au bout
    La partie finale

    Prends ma main, fonds mon cœur
    J’ai le sentiment de m’être piégée dans un lieu froid
    Comme la lune et les étoiles cachées dans le noir
    Je me suis finalement trouvée dans tes yeux
    Si notre destin était d’être ensemble, mon amour
    Pourquoi faisons nous sans cesse les mêmes erreurs ?
    Rien ne peut nous satisfaire en ce monde
    Donne moi l’espoir de croire en notre destin


    L’orbite du photon et de l’univers
    Je te suivrais jusqu’au bout
    Dans ce ciel déformé que l’œil ne peut saisir
    Vers où te diriges tu ? Ah
    L’orbite du photon et de l’univers
    Je te suivrais jusqu’au bout
    Nos cinq sens étant contrôlés à notre insu
    Sans même connaître le sens de la vie, je te suivrai
    La partie finale

    L’orbite des photons et de l’univers
    Je ne suis qu’une partie de son plan
    Dans ce ciel déformé que l’œil ne peut saisir
    Vers où te diriges tu ? Ah
    L’Orbite des photons et de l’univers
    Je te suivrai jusqu’au bout
    La partie finale

    Nos cinq sens étant contrôlés à notre insu
    Sans même connaître le sens de la vie, je te suivrai
    La partie finale

    Je suis l’autrice originale sur Lyrics translate ! J’ai effectué quelques modifications pour cet article. Interprétation subjective selon l’anime, 2021-2024 Barbara Ferreres pour la traduction française


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  • Shaka Ponk – Mysterious Ways traduction française

    ar Mrs Swadloon le 28 Juillet 2017 à 20:43

    La traduction est actuellement en cours ceci est en public parce que j’ai pas vu d’autre traduction qui reprenne la traduction de la forumlation religieuse en ligne.

    Mysterious ways

    I believed in my girl, 
    But when she walked out the door
    My côre1 began to render µ
    Just a lot o’ mo than befo’
    I gave it all, she took it all
    No matter what I say…
    Well the girl work in mysterious ways

    I believe in myself
    Now, that’s all that I’ve got
    I’m a voluntary man, born to work a lot
    I gave them all, my body and sould, so many nights and days
    Well the biz2 works in mysterious ways

    I will keep on struggling on and on with life ’till I’m alive and to the bitter end x2
    The end…

    I believe in my friends
    I’d do anything
    Anything for them, for me they’d do the same
    We swore a lot, shared a lot of confianza and betrayal
    Well my friendswork in mysterious ways

    I will keep on struggling hard in vain, ’till I fall down again x2
    I believe in my lord
    When he whispers in my chords
    Don’t look around, don’t look behind, you’re bulding your own maze (he says)
    Well my god works in mysterious ways
    Come on, love love love love
    I will keep on struggling hard in vain, ’till I fall in love again x2
    I’m struggling hard until I… Love again  
    J’avais confiance en ma meuf,
    Mais quand elle est partie
    Mon côre a commencé à battre
    Bien plus fort qu’avant
    J’ai tout donné, elle a tout prit
    Quoi que je dise..
    Eh bien, les voies des filles sont impénétrables

    J’ai confiance en moi
    C’est tout ce qu’il me reste maintenant
    Je suis quelqu’un de volontaire, fait pour travailler beaucoup
    J’ai tout donné,corps et âme, tant de nuits et jours
    Eh bien, les voies du biz sont impénétrables

    Je continuerai de me battre avec la vie encore et encore tant que je survivrai, jusqu’à la fin x2
    La fin…

    J’ai confiance en mes amis
    Je ferais n’importe quoi
    N’importe quoi pour eux, ils feraient la même pour moi
    On a beaucoup juré, partagé confianza et trahisons
    Eh bien, les voies de mes amis sont impénétrables

    Je continuerai de me débattre en vain, jusqu’à ce que je chute à nouveau x2
    J’ai confiance en mon seigneur
    Quand il murmure dans mes accords
    Ne regarde pas autour, ne te retourne pas, tu construis ton propre labyrinthe (dit-il)
    Eh les voies de mon seigneur sont impénétrables
    Allez, aime, aime, aime, aime, aime
    Je continuerai de me débattre en vain jusqu’à ce que je retombe amoureux
    Je me débats jusqu’à… ce que j’aime à nouveau

     Note : Désolé pour la traduction un peu lourde de « mysterious ways » (de façon étrange ou quelque synonyme aurait largement suffit), mais il m’a semblé que cela faisait référence à l’adage anglais « The Lord works in mysterious ways » qui se traduit traditionnellement par « Les voies du seigneur sont impénétrables », d’où le registre de cette phrase qui peut parfois paraître déplacé pour une chanson de Shaka Ponk.

    Ceux qui écoutent Shaka Ponk savent que ces derniers utilisent parfois des mots inventés, ou modifiés, puisant dans plusieurs langues. C’est un choix de ma part, mais cela ne m’empêche pas de vous donner un petit équivalent bien franchouillard pour la route : 
    1côre : coeur 
    2 : biz : le monde des affaires (ou business si vous voulez faire bien start-up nation)

    PS : Vu que je n’ai pas encore vu d’autres traductions (de meilleure qualités ou plus vaseuses que les miennes) sur le net, ce serait con de d’oublier malencontreusement de dire d’où elle provient si vous la copiez sur votre site. Je doute que quiconque aie envie de réutiliser ceci mais des fois on a des surprises !
    Des bisous 🙂


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