Étiquette : narration

  • Makenzy Orcel, La nuit des terrasses et Caverne suivi de Requiem – Quand la mort et le spleen Baudelairien débordent dans les flots d’un hommage à la nuit

    Makenzy Orcel, La nuit des terrasses et Caverne suivi de Requiem – Quand la mort et le spleen Baudelairien débordent dans les flots d’un hommage à la nuit

    Review du recueil de Makenzy Orcel – une poésie en prose atypique La nuit des terrasses et Caverne suivi de Cadavres est un recueil de poésie contemporaine regroupant trois oeuvres du poète haitien Makenzy Orcel, que je découvre à l’occasion de cette réédition des éditions la Contre allée pour la collection la Sentinelle. J’ai tout…

  • Notre chaos heureux

    Notre chaos heureux

    Ils ont prédit pour nous deux Un avenir désastreux Où la chute dans les drogues Serait notre symbole Pourquoi faire tant d’histoires ? Si tu ne valides pas le nouveau chapitre, Cela ne veut pas dire que tu dois t’arrêter au titre Ils attendent de nous deuxQue nous nous déclarions notre flamme En mettant à…

  • Strasbourg tu m’as saoulé

    Strasbourg tu m’as saoulé

    Strasbourg tu m’as saoulée, Jme casseT’es toujours grisée,Mais t’as l’alcool mauvaisToujours sur mon épaule à chialer Mais pas foutue d’évoluerJme casse Il est temps de divorcer Tu te veux progressiste Mais t’es juste un gros nid de racistes Jme casse Soi-disant qu’à HautepierreJ’allais me faire fracasser à coup d’pierres, Mais vous êtes si plein de…

  • À la lumière des lamparos

    À la lumière des lamparos

    Cette histoire d’un soir, Est la matrice d’innombrables heures débauchées D’un groupe de jeunes paumés A deux pas de la mer méditerranée La vie va les séparer,Gardez pour l’instant le secret;Leur innoncence intouchée est protégé,par les pécheurs aux lamparos Dont lueur d’espoir trompeuse piège qui ne supporte par le noir. Chut..!C’est le moment où le silence immobile de la nuit Pousse…

  • Marco de San Francisco

    Marco de San Francisco

    C’était sur une route nationale de Bretagne Sur ce chemin désert, sa mini grise comme la campagne La conduisait vers une longue histoire. Elle était jeune, brune, jolie, grisée, Il était quatre heures du matin La lumière de ses deux phares, noyée dans l’illumination d’une intersection