Auteur/autrice : Barbara Ferreres

  • Shaka Ponk – Mysterious Ways traduction française

    ar Mrs Swadloon le 28 Juillet 2017 à 20:43

    La traduction est actuellement en cours ceci est en public parce que j’ai pas vu d’autre traduction qui reprenne la traduction de la forumlation religieuse en ligne.

    Mysterious ways

    I believed in my girl, 
    But when she walked out the door
    My côre1 began to render µ
    Just a lot o’ mo than befo’
    I gave it all, she took it all
    No matter what I say…
    Well the girl work in mysterious ways

    I believe in myself
    Now, that’s all that I’ve got
    I’m a voluntary man, born to work a lot
    I gave them all, my body and sould, so many nights and days
    Well the biz2 works in mysterious ways

    I will keep on struggling on and on with life ’till I’m alive and to the bitter end x2
    The end…

    I believe in my friends
    I’d do anything
    Anything for them, for me they’d do the same
    We swore a lot, shared a lot of confianza and betrayal
    Well my friendswork in mysterious ways

    I will keep on struggling hard in vain, ’till I fall down again x2
    I believe in my lord
    When he whispers in my chords
    Don’t look around, don’t look behind, you’re bulding your own maze (he says)
    Well my god works in mysterious ways
    Come on, love love love love
    I will keep on struggling hard in vain, ’till I fall in love again x2
    I’m struggling hard until I… Love again  
    J’avais confiance en ma meuf,
    Mais quand elle est partie
    Mon côre a commencé à battre
    Bien plus fort qu’avant
    J’ai tout donné, elle a tout prit
    Quoi que je dise..
    Eh bien, les voies des filles sont impénétrables

    J’ai confiance en moi
    C’est tout ce qu’il me reste maintenant
    Je suis quelqu’un de volontaire, fait pour travailler beaucoup
    J’ai tout donné,corps et âme, tant de nuits et jours
    Eh bien, les voies du biz sont impénétrables

    Je continuerai de me battre avec la vie encore et encore tant que je survivrai, jusqu’à la fin x2
    La fin…

    J’ai confiance en mes amis
    Je ferais n’importe quoi
    N’importe quoi pour eux, ils feraient la même pour moi
    On a beaucoup juré, partagé confianza et trahisons
    Eh bien, les voies de mes amis sont impénétrables

    Je continuerai de me débattre en vain, jusqu’à ce que je chute à nouveau x2
    J’ai confiance en mon seigneur
    Quand il murmure dans mes accords
    Ne regarde pas autour, ne te retourne pas, tu construis ton propre labyrinthe (dit-il)
    Eh les voies de mon seigneur sont impénétrables
    Allez, aime, aime, aime, aime, aime
    Je continuerai de me débattre en vain jusqu’à ce que je retombe amoureux
    Je me débats jusqu’à… ce que j’aime à nouveau

     Note : Désolé pour la traduction un peu lourde de « mysterious ways » (de façon étrange ou quelque synonyme aurait largement suffit), mais il m’a semblé que cela faisait référence à l’adage anglais « The Lord works in mysterious ways » qui se traduit traditionnellement par « Les voies du seigneur sont impénétrables », d’où le registre de cette phrase qui peut parfois paraître déplacé pour une chanson de Shaka Ponk.

    Ceux qui écoutent Shaka Ponk savent que ces derniers utilisent parfois des mots inventés, ou modifiés, puisant dans plusieurs langues. C’est un choix de ma part, mais cela ne m’empêche pas de vous donner un petit équivalent bien franchouillard pour la route : 
    1côre : coeur 
    2 : biz : le monde des affaires (ou business si vous voulez faire bien start-up nation)

    PS : Vu que je n’ai pas encore vu d’autres traductions (de meilleure qualités ou plus vaseuses que les miennes) sur le net, ce serait con de d’oublier malencontreusement de dire d’où elle provient si vous la copiez sur votre site. Je doute que quiconque aie envie de réutiliser ceci mais des fois on a des surprises !
    Des bisous 🙂


    Laisser un commentaire : Shaka Ponk – Mysterious Ways traduction française
  • Merol – Hoe je bek en bef me (traduction française)
    HOE JE BEK EN BEEF MEFERME LA ET BROUTE  MOI
    [Couplet 1]
    De muziek ging uit
    De club ging dicht
    Daar stonden we dan in het TL-licht
    Maar het stond je wel, dat TL
    « Jij slaapt bij mij vannacht », zei ik je snel
    Even later komen we binnen
    En ik wil beginnen, maar jij loopt naar de bank
    Je wil een kop thee, elkaar leren kennen
    « Is dat oké? » Je begint te vertellen
    Je woont in De Pijp, was lid van het corps
    Je zit in de sales en je praat maar door

    [Pre-Refrein]
    Maar die bio, het boeit me geen fluit
    Ik wil met je naar bed
    Dus trek ‘t uit

    [Refrein]
    Hou je bek en bef me
    Hou je bek en bef me
    Hou je bek en bef me
    Hou je bek en bef me

    [Couplet 2]
    Laat dat praten, dat kan ook later
    Eerst body language, doe niet zo eng, bitch
    Ik wil geen context, ik hoef geen plaatje
    Gemeenschappelijke vrienden, kap dat praatje
    Ik hoef geen naam, geen ditjes en datjes
    Bespaar me please foto’s van je katjes
    Je bent lekker, je bent heet
    Dus kom naar bed en stop deze date

    [Pre-Refrein]
    Maar die bio, het boeit me geen fluit
    Ik wil met je naar bed
    Dus trek ‘t uit

    [Refrein]
    Hou je bek en bef me (Hou je bek en bef me)
    Hou je bek en bef me
    Hou je bek en bef me
    Hou je bek en bef me

    [Brug]
    Begrijp me niet verkeerd
    Het is leuk, dat geflirt
    Maar het is al laat (Ja, het is al laat)
    Nu ben ik aan de beurt
    Het is al lang genoeg over jou gegaan
    Dus door je knieën, dan blijf ik staan
    Ik wil je nu, het is tijd
    We praten wel verder aan het ontbijt

    [Refrein]
    Hou je bek en bef me, bef me
    Hou je bek en bef me, bef-bef me
    Hou je bek en bef me, bef me
    Hou je bek en bef me, bef-bef me

    [Refrein]
    Hou je bek en bef me (Hou je bek en bef me)
    Hou je bek en bef me
    Hou je bek en bef me
    Hou je bek en bef me
    [Couplet 1]
    La musique s’est arrêtée
    Le club a fermé
    Nous étions là sous les néons
    Quelle t’allait bien, cette fluorescence
    « Tu couches avec moi ce soir » t’ai-je dit rapidement
    Puis nous sommes rentrés,
    Et je veux commencer, mais tu vas sur le canapé
    Tu veux une tasse de thé, qu’on fasse connaissance
    « Ça te va ? » Tu commences à raconter,
    Que tu habites à De Pijp, que tu as fait parti d’une corporation etudiante
    Que tu es dans la vente et tu ne t’arrêtes pas de parler

    [Pre-Refrain]
    Mais la bio, je m’en fou
    Je veux qu’on aille au lit
    Et que tu te desapes

    [Refrain]
    Ferme la et broute moi
    Ferme la et broute moi
    Ferme la et broute moi
    Ferme la et broute moi

    [Couplet 2]
    La conversation, ça peut attendre
    Premièrement le langage corporel, n’est pas si effrayant, salope
    Je ne veux rien savoir, ne me peins pas le décor
    Les amis en communs, tu gardes ça pour toi
    Je ne veux pas de nom, pas de tergiversations
    Épargne moi s’il te plaît les photos de tes chats
    Tu es charmant, tu es sexy
    Donc viens au lit qu’on en finisse

    [Pre-Refrain]
    Mais la bio, je m’en fou
    Je veux qu’on ailles au lit
    Et que tu te desapes

    [Refrain]
    Ferme la et broute moi
    (Ferme la et broute moi)
    Ferme la et broute moi
    Ferme la et broute moi
    Ferme la et broute moi

    [Bridge]
    Ne te méprends pas sur moi,
    C’est agréable, ce flirt
    Mais il est déjà tard (oui, il est déjà tard)
    Maintenant c’est à mon tour
    Ça fait suffisamment longtemps qu’on parle de toi
    Alors mets toi à genoux, et après j’arrête
    Je le veux maintenant, il est temps
    On parlera d’avantage au petit dej

    [Refrain]
    Ferme la et broute moi, broute moi
    Ferme la et broute moi-broute moi
    Ferme la et broute moi, broute moi
    Ferme la et broute moi, broute moi

    [Refrain]
    Ferme la et broute moi
    (Ferme la et broute moi)
    Ferme la et broute moi
    Ferme la et broute moi
    Ferme la et broute moi

    Je suis la traductice sur Lyric Translate

    Notes de traduction :

    Brouter : argot vulgaire pour définir le fait de lécher le sexe féminin, dérivés : brouteuses, argot négatif vulgaire pour désigner les lesbiennes (je vous fais pas un dessin du pourquoi et comment). Beven signifie plutôt trembler, donc en gros littérallement on aurait « ferme la et donne moi un orgasme », mais c’était plus droit au but de donner le moyen d’y parvenir.

    De Pijp : quartier d’Amsterdam pittoresque qui est l’hôte de beaucoup de boutiques, de son célèbre marché et aussi de restaurants, coffee shops et autres boutiques attrape-touristes. Il est côté et, l’immobilier aux Pays-Bas et particulièrement dans le Randstad (grande entité regroupant lesvilles les plus dynamiques du pays) étant hors de prix, habiter là-bas et le signaler et signe de prestige et de prétention.
    Les corporations étudiantes sont de grands groupes bien établis où les soirées alcoolisées et le bizutage sont de mises, mais les rejoindre donne un certain statut dans la hiérarchie sociale étudiante. Le mentionner à l’âge adulte est selon moi encore un signe de prétention.


    Laisser un commentaire : Merol – Hoe je bek en bef me (traduction française)
  • ,

    Siouxie – Love Crime

    ·

    Siouxie – Love Crime

    Anglais (original)

    Français (traduction)

    Oh, the skies tumbling from your eyes
    So sublime the chase to end all time
    Seasons call and fall from grace and uniform
    Anatomical and metaphysical

    Oh, the dye
    A blood red setting sun
    Rushing through my veins
    Burning up my skin

    I will survive, live and thrive
    Win this deadly game
    Love crime
    Love crime
    I will survive, live and thrive
    I will survive, I will survive
    I will

    Oh, les cieux dégringolant de tes yeux
    Sublime est la course-poursuite pour mettre fin au Temps
    L’appel de saisons, la déchéance et l’uniforme
    Anatomique et Métaphysique

    Oh, la teinte
    D’un ciel couchant rouge sang
    Traverse mes veines
    Vient brûler ma peau

    Je vais survivre, vivre et m’épanouir
    Gagne ce jeu mortel
    Crime passionnel
    Crime passionnel
    Je vais survivre, vivre et m’épanouir
    Je vais survivre, je vais survivre,
    Je vais


    Laisser un commentaire : Siouxie – Love Crime
  • Fantômes, célébrons l’anniversaire de ma mort (de l’addiction aux opiacés et le vécu d’une overdose)

    Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de ma mort. On m’a dénié mon statut de morte, parce que mon cœur bat dans ma poitrine. En vérité, c’est plus simple pour la société de prétendre que ma mort n’a jamais existé. Eux n’entendent pas, le soir, leur mère sangloter.

    En tant qu’amoureuse des opiacés, de « junkie » même si certains n’aiment pas ce mot, j’en ai ma claque de l’image que ça renvoie, du mode de vie. Déjà ; ce n’est pas glamour. Demander de l’argent à tout le monde, c’est humiliant. Il y’a le mépris de la famille, les mêmes qui font des punks héroïnomanes leurs héros. Dans la sphère familiale et sociale, j’existe entre deux impératifs : « être clean » (sans aide, bien sûr, bien), ou « pas clean » (pas bien, sans aide, bien sûr). Tandis que l’héro m’apaise plus que les antipsychotiques « tu as meilleure mine » « tu es allée tellement loin » et que je n’arrêterais pas si mon porte-monnaie pouvait le supporter. Et encore.

    Je n’ai pas le bon profil pour le junkie. Tous mes médecins n’ont jamais pris mes problèmes d’addiction au sérieux – après mon overdose il y a un an, quand je vomissais mes tripes à l’hôpital psychiatrique où en m’avait envoyé, faute de savoir quoi faire de cette étrangeté. Plus de neuf mois plus tard je n’ai pas de traitement, parce qu’on ne m’a pas écouté. Paie son loyer. Vêtements propres. Société fauchée. Société pressée. Asceptisée.  Débrouille-toi la débauchée 

    (suite…)

    Laisser un commentaire : Fantômes, célébrons l’anniversaire de ma mort (de l’addiction aux opiacés et le vécu d’une overdose)
  • ,

    Nuit chérie

    ·

    Nuit chérie

    La nuit est ma compagne,
    J’aime en son sein effectuer des délits anodins
    Qui seront oubliés le lendemain
    Quand l’aube tombera sur la campagne.

    (suite…)


    Laisser un commentaire : Nuit chérie